<p style="text-align: justify;"><span style="text-align: justify; font-size: 13px;">Le jour ou Gaëlle peut enfin s’acheter ses propres disques, au revoir Michel Jonasz ou Piaf qui l’ont bercée, elle se jette sur Slayer et Metallica. A ses 1m54, elle cesse de grandir mais laisse pousser ses cheveux.</span></p> <p align="left" style="text-align: justify;">Et puis, le drame se produit. Lors d’un concert de Sépultura, elle balance sa tête d’arrière en avant, comme tout le monde dans la salle, et se cogne à &nbsp;son voisin d’en face qui faisait la même chose. Le lendemain, on lui découvre un pou. Le surlendemain, elle a les cheveux courts. Sa veste en jean dégueux (des années de travail !!!) recouverte d’écussons ne la sauvera pas de l’exclusion, lente mais certaine, de ce qui était devenue sa famille musicale d’adoption.</p> <p>S’en suit une boulimie de découvertes. Des chants Inuits à&nbsp; Allain Leprest, en passant par les Pixies, Bowie ou Dvorjak…leurs disques cohabitent dans une harmonie confuse et délicieuse.<br /> Afin de constater ce qui subsiste de ces multiples aventures musicales, elle entre aux<strong>&nbsp;Ateliers Chansons de Paris</strong>.<br /> Au cours de ces deux années, elle abandonne l’idée d’appartenir à&nbsp; un style en particulier, se fabrique une plume, et fait de belles rencontres dont<strong>&nbsp;Gaspard Lanuit</strong>&nbsp;qui compose sur ses premiers textes (Gaëlle…avec 2 L – premier album autoproduit en partenariat avec la Sacem).</p>

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